Cette semaine notre lecture hebdo est basée sur 2 Chron. 10 à 14.

Quelques questions pour nous aider dans notre méditation :
Après la mort de Salomon son père, Rehabam vient d'être proclamé roi. Le peuple profite de cette nouvelle donne pour lui faire part de leur doléance. Mais celui-là demande trois jours à celui-ci le temps qu'il concerte avec ces conseillers.

1) Pourquoi interroge-t-il les anciens conseillers de son père puis ses propres nouveaux conseillers, ses amis d'enfance ?
2) Quelle est la principale conséquence de ce choix ?
3) Pourquoi peut-on être confiant quant à l'avenir par rapport au choix politique des uns et des autres ?

4) Qu'est-ce que vous inspire le constat livré au chapitre 12: 1 ?

5) En 13: 5, il est question de l'alliance de sel ? Qu'est-ce que c'est et qu'elle était sa valeur juridique ? Peut-on dégager une leçon pour nous ? (partie prochainement examinée lors de la révision orale).

6) Pourquoi ne devons-nous pas craindre le nombre et la stratégie militaire de ceux qui veulent combattre le peuple de Dieu ? 13: 8-20.

7) Si nous avons un enfant qui abandonne la vérité, qu'est-ce qui est encourageant pour nous de la lecture du chapitre 14 ?

Bonne lecture et méditation !

BONJOUR
pourquoi c'est tout en rouge ?
c'est difficile a lire.

on peut compatabiliser ses heures? si j'ai bien compris

elle est bonne celle-là!!,, absolument pas un témoin n'a a compter ses heures de service en faisant un forum comme celui-ci sauf si tu ou vous parlez des vérités bibliques à une personne en toute bonne conscience

Bonjour Joshua et bienvenue.

joshua a écrit:

elle est bonne celle-là!!,, absolument pas un témoin n'a a compter ses heures de service en faisant un forum comme celui-ci sauf si tu ou vous parlez des vérités bibliques à une personne en toute bonne conscience

Je t'invite à relire ce que j'ai écrit : "Si les commentaires faits ont un rapport avec la prédication de la bonne nouvelle, je PEUX (rien est obligé) comptabiliser mes heures."
Comme un forum est sensé être lu par tous même par ceux qui ne partagent pas notre foi donc quand on écrit quelque chose sur l'espérance du royaume, on a bon espoir qu'il sera lu aussi par des non TJ. Donc on fait de l'informel.
Mais j'ai réservé une explication dans une section appropriée : "comment comptabiliser ses heures sur forum ?" J'avais pris soin de préciser : selon la conscience de chacun. Je pense qu'il n'y a pas de raison qu'on compte ses heures que l'on fait en informel et que ici si on choisi des sections réservées pour, on ne puisse pas le faire.
Je répète que je passe plus de douze heures de temps par mois à prêcher sur différents forum et pourtant je compte environ quatre fois moins sur mon rapport mensuel. Je connais un frère qui affirmait passer six heures par jour à prêcher sur des forums et il comptait toutes ses heures. Quand les anciens lui ont demandé à quoi autant d'heures correspondaient, il a expliqué et ils ont été d'accord avec lui.

Donc faites selon votre conscience. Un rapport, c'est pour les stat. ; c'est pour l'homme. Mais Yah, sans rapport, il sait ce que vous faites. Moi, je remets un rapport pour être soumis à cette disposition. Mais mon but n'est pas de le gonfler pour qu'on sache que je fais plus que les autres. Je fais peut-être plus, mais je préfère le mettre au rabais pour rester dans la moyenne de ma congrégation.

Bonjour Scrut et bienvenue.

le scrut a écrit:

BONJOUR
pourquoi c'est tout en rouge ?
c'est difficile a lire.

Je démarre et une première couleur trop flash est apparue sans que je fasse quoique ce soit comme manoeuvre. Quand quelqu'un m'a fait la remarque, j'ai essayé là de fouiller pour y remédier. Je pense qu'il y a une amélioration par rapport à ce que c'était au début. Mais je vais l'avouer, comme je suis daltonien, ce n'est pas facile pour moi de varier les couleurs le fond par rapport à l'écriture. Mais je vais y retravailler. Patience.

Bonsoir,

Admin a écrit:

Cette semaine notre lecture hebdo est basée sur 2 Chron. 10 à 14.

Quelques questions pour nous aider dans notre méditation :
Après la mort de Salomon son père, Rehabam vient d'être proclamé roi. Le peuple profite de cette nouvelle donne pour lui faire part de leur doléance. Mais celui-là demande trois jours à celui-ci le temps qu'il concerte avec ces conseillers.

1) Pourquoi interroge-t-il les anciens conseillers de son père puis ses propres nouveaux conseillers, ses amis d'enfance ?
2) Quelle est la principale conséquence de ce choix ?
3) Pourquoi peut-on être confiant quant à l'avenir par rapport au choix politique des uns et des autres ?

4) Qu'est-ce que vous inspire le constat livré au chapitre 12: 1 ?

5) En 13: 5, il est question de l'alliance de sel ? Qu'est-ce que c'est et qu'elle était sa valeur juridique ? Peut-on dégager une leçon pour nous ? (partie prochainement examinée lors de la révision orale).

6) Pourquoi ne devons-nous pas craindre le nombre et la stratégie militaire de ceux qui veulent combattre le peuple de Dieu ? 13: 8-20.

7) Si nous avons un enfant qui abandonne la vérité, qu'est-ce qui est encourageant pour nous de la lecture du chapitre 14 ?

Bonne lecture et méditation !

Je remets en hauteur les questions que j'ai formulées en rapport avec nos PILB de cette semaine car d'autres posts n'ayant aucun rapport sont venus les occulter.

13 décembre : lecture de la bible 2 Chroniques chapitre 15 à 19

it-3 p.1191YEHOSHAPHAT Lors d’une visite dans le royaume du Nord, quelque temps après le mariage d’Athalie, fille d’Ahab, avec son premier-né Yehoram, Yehoshaphat accepta d’accompagner le roi Ahab dans une opération militaire visant à reprendre Ramoth-Guiléad aux Syriens. Toutefois, avant de se mettre en route, Yehoshaphat demanda à Ahab d’interroger Jéhovah. Quatre cents prophètes assurèrent Ahab qu’il réussirait. Cependant, Mikaïa, vrai prophète de Jéhovah, qu’Ahab détestait, mais qu’il appela sur les instances de Yehoshaphat, prédit une défaite certaine. Toutefois, peut-être pour ne pas revenir sur sa promesse d’accompagner Ahab, Yehoshaphat partit au combat avec ses vêtements royaux. Comme Ahab avait pris la précaution de se déguiser, les Syriens pensèrent à tort que Yehoshaphat était le roi d’Israël et dirigèrent donc contre lui l’attaque la plus violente. Yehoshaphat échappa de justesse à la mort, mais Ahab, malgré son déguisement, fut mortellement blessé (1R 22:2-37 ; 2Ch 18).

Il est probable que ce soit Jéhovah qui fit mourir Ahab par la main d'un archer qui lança sa flèche au hasard vers un ennemis sans savoir qu'il blesserait à mort Ahab.

Le récit de 2 Ch 18 : 18-22 nous donnent une image des esprits céleste en tant que fils fidèle à Dieu qui répondent à la demande de Jéhovah pour duper Ahab. Après s'être consulté, ils nomment l'un d'eux pour exécuter leur proposition que Jéhovah approuve.

Paix et miséricorde divines,

A propos d'Ahab, c'est ce que j'appelle la précaution inutile. ça me fait penser à un dicton que l'on retrouve dans les petits prophètes où il est question qu'un homme prendra toutes les précautions pour ne pas se faire déchirer par (un lion ou un ours), mais arrivé chez lui, par un malheureux hasard se fait piquer par un serpent et meurt !
Ahab n'avait pas la bénédiction de Yah. Quelque soit son stratagème, Yah a veillé à ce que ça ne fonctionne pas.

16 Et même à Maaka [sa] grand-mère, Asa le roi lui enleva [la dignité] de grande dame, parce qu’elle avait fait une idole horrible pour le poteau sacré ; puis Asa abattit son idole horrible, la pulvérisa et la brûla dans le ouadi de Qidrôn. 17 Mais les hauts lieux ne disparurent pas d’Israël. Seulement le cœur d’Asa fut complet durant tous ses jours. 18 Et il entreprit d’apporter dans la maison du [vrai] Dieu les choses que son père avait sanctifiées et les choses que lui-même avait sanctifiées : de l’argent, de l’or et des ustensiles. 19 Quant à la guerre, il n’y en eut pas jusqu’à la trente-cinquième année du règne d’Asa.

Comment ne pas admirer un tel courage de la part d'un enfant vis à vis de sa mère ? On constate que le roi Asa n'a pas fait dans du sentimentalisme ou dans du népotisme. Ce récit me montre l'importance de ne pas fermer les yeux sur un péché grave que pourrait comettre l'un des miens (épouse ou enfants). Si je fermais les yeux sur des péchés graves des membres de ma famille, je ressemblerais au prêtre Eli qui a fermé pour ainsi dire les yeux sur les agissements de ses fils, mais qui a été rapide à juger injustement Hanna, la déprimée, juste parce que ses lèvres frémissaient quand elle s'est mise à prier intensément au temple. Combien il est plus facile de condamner les autres et de couvrir les siens ! A l'inverse, en condamnant fermement tel ou tel péché d'un membre de la famille, j'imiterai le roi Asa. Avoir une telle attitude m'obligerait moi aussi si j'arrivais à pécher gravement de rechercher l'aide des bergers de la congrégation.

Paix et miséricorde divines,

Notre lecture hebdomadaire de la bible est basée sur 2 Chroniques 20 à 24. Bonne lecture, méditation et application pratique !

Bonjour !

Notre lecture hebdomadaire est basée sur 2 Chroniques 25 à 28. Bonnes lecture, méditation et application pratique.

Paix et miséricorde divines,

Le chapitre 26 des 2 Chroniques nous fait réfléchir. Il est question du roi Ouzziya. Au début, il marchait dans les voies de Yah. Humblement, il recherchait Jéhovah. En retour, il recevait de nombreuses bénédictions de la part de Yah. Mais, son amour pour son Créateur n'allait pas durer. Le récit nous dit : " Mais dès qu'il fut devenu fort, son coeur s'enorgueillit, oui jusqu'à causer la ruine (...). "
Posons-nous la question : " Quand je reçois une promotion dans l'entreprise où je travaille, ou quand j'ai reçu un privilège de service dans la congrégation qui m'octroie une certaine autorité, est-ce que je deviens fier, est-ce que je deviens un autre homme ? "

Dans le cas de Ouzziya son orgueil le poussa à enfreindre une règle fondamentale du principe que l'on appelle aujourd'hui la séparation des pouvoirs. En fait, en tant que roi, il n'avait pas le droit de toucher à la chose religieuse, ici le service sacerdotal réservé uniquement aux prêtres et lévites. En agissant ainsi il s'est montré infidèle envers Yah et s'est fait admonester par les plus de 80 prêtres présents. Mais Ouzziya, au lieu de faire amende honorable "entra en fureur (...) contre les prêtres". Toutefois, sa méchanceté n'avait pas échappé à Yah. Pendant qu'il manifesta sa fureur, il fut frappé de la lèpre sur son front. Jusqu'à sa mort, il ne put plus assumer sa charge de roi car il fut par la force des choses isolé de tout contact humain. Quelle triste fin pour un roi devenu orgueilleux !

Ce récit m'oblige à m'interroger. Quand j'envisage d'entreprendre une action, qu'est ce qui me motive ? Est-ce vraiment l'amour, la bonté, la justice ? Est-ce que je fais tout pour sanctifier le nom de mon Créateur ?